| Abstract |
Die Organisatoren von arbeitsmarktlichen Massnahmen (AMM) stehen im Spannungsfeld der stellensuchenden Menschen, der auftraggebenden Behörden und der eigenen Trägerschaften. Sie befinden sich ausserdem in einem Netz von Akteuren aus verschiedenen Institutionen wie RAV, Berufsberatung, Sozialbehörden, Bildungsinstituten usw. Trotz dieser komplexen Rahmenbedingungen hat sich der Schweizerische Verband der Organisatoren arbeitsmarktlicher Massnahmen (SVOAM) die «Förderung der Integration und Wiedereingliederung Stellensuchender durch eine stete Verbesserung der angebotenen arbeitsmarktlichen Massnahmen» zum Ziel gesetzt. Ob und wieweit dieser Anspruch erreicht werden kann, lässt sich nicht leicht beantworten. Les organisateurs de mesures concernant le marché du travail (MMT) se situent dans un champ de tension entre les personnes à la recherche d’emploi, les autorités donnant le mandat et les prestataires eux-mêmes. Ils se trouvent de plus dans un réseau d’acteurs appartenant à différentes institutions, telles que les ORP, l’orientation professionnelle, les services sociaux, les institutions de formation, etc. Malgré ces conditions cadres complexes, l’Association des organisateurs de mesures actives en Suisse (AOMAS) s’est donnée pour but «le développement de l’intégration et de la réinsertion des personnes à la recherche d’emploi par une amélioration constante des mesures du marché du travail offertes». Il n’est pas facile de savoir comment et dans quelle mesure cette exigence peut être atteinte. En prenant en compte la multiplicité des besoins, l’AOMAS a créé un modèle bien étayé et compréhensible, qui inclut aussi bien le contrat de prestation négocié avec les autorités que les accords avec les participants individuels. La base est un système de référence qui tient compte des caractéristiques particulières des différents groupes cibles, des procédures particulières et des ressources à disposition. Sur cette base, l’effectivité des MMT doit être évaluée selon des critères clairs et compréhensibles. Pour chaque critère ont été développés des indicateurs concrets, et des standards minimaux ont été fixés. De plus, le nouveau modèle contribue à optimiser la collaboration entre les institutions concernées, en montrant comment elles peuvent s’entendre sur les processus centraux de chacun des acteurs, sur les compétences et sur le déroulement du processus. Le système de référence doit pouvoir faire l’objet d’un développement continu sur la base des expériences. |
