Abstract: 1 Verträge + Verfügungen BAG 2 Berichte an das BAG 3 Budgets, Abrechnungen 4 Korrespondenz 5 Rundschreiben Kantone 6 supra-f Ateliers 7 8 Finanzielle Beiträge ohne Impulsfonds 9 Medien 10 Mandat BAG an Suchtverband + RADIX 11 Diverse Vorlagen 12 supra-f Abläufe + Publikationen

Abstract: Le succès des programmes supra-f est dû à leur orientation vers un soutien accru aux jeunes vulnérables. Afin de permettre l’élargissement de cette approche prometteuse, la planification et la mise en place de ce genre d’offres dans le domaine de l’intervention précoce sont activement soutenues, entre autres, par des ateliers supra-f, des cours de formation, des accompagnements de projets et des contributions financières.

Abstract: Das Suchtpräventions-Forschungsprogramm supra-f ging – zumindest für schweizerische Verhältnisse – neue Wege. Ähnlich wie in der bekannten Studie zur kontrollierten Verschreibung von Heroin wurde ein Multizenter-Ansatz mit einer Längsschnittanalyse eingerichtet. So entstanden an 12 Orten ambulante Präventionsprogramme, die von 2000–2003 um die 900 gefährdete Jugendliche betreut haben. An jedem Ort wurde zudem eine Vergleichsgruppe von ähnlich gefährdeten Jugendlichen mitbeforscht. Der Schlussbericht fasst auf 50 Seiten einige Ergebnisse zusammen, die insgesamt ein ermutigendes Bild über die Machbarkeit einer Begleitforschung in der Sekundärprävention abgeben. Erfreulich sind nicht nur die – wenn auch nur mässig – positiven Wirkungen der Interventionen auf die Jugendlichen, sondern auch die Hinweise, welche Angebote sich für welche Jugendlichen als besonders günstig erweisen. So gesehen gibt die supra-f Forschung konkrete Anregungen sowohl für Entscheidungsträger und Fachleute für die Prävention und Früherfassung, wie auch für weitere Forschungsprojekte. Comparativement aux autres programmes suisses, supra-f – le programme de recherche en prévention des dépendances – s’orientait vers une autre direction. En même temps que l’étude connue sur la prescription contrôlée d’héroïne, une approche multicentriste avec analyse longitudinale a été instaurée. Ainsi, 12 centres avec programmes de prévention ambulatoires ont été créés, qui ont traités environ 900 jeunes en situation de risque sur la période allant de 2000 à 2003. Pour chaque centre, la recherche s’est appuyée sur deux groupes : un groupe de jeunes en situation de risque et un groupe de comparaison (sans difficulté). Le rapport final résume sur 50 pages certains résultats qui, ensemble, donnent une image encourageante de la faisabilité d’une recherche d’accompagnement dans la prévention secondaire. Ne sont pas uniquement réjouissants les impacts positifs des interventions sur les jeunes – même s’ils sont modérés – mais également les informations pour savoir quelle offre est plus particulièrement appropriée pour quels jeunes. Considérée ainsi, la recherche supra-f donne des recommandations et suggestions concrètes non seulement aux décideurs et spécialistes pour la prévention et l’intervention précoce, mais aussi pour d’autres projets de recherche.