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Bello, P. - Y., Ben Lakhdar, C., Carrieri, M. P., Costes, J. - M., Couzigou, P., Dubois-Arber, F., et al. (2010). Réduction des risques chez les usagers de drogues : synthèse et recommandations (Groupe d'experts, Ed.). Paris: Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM).
Abstract: La mise en évidence chez les usagers de drogue d’une proportion élevée de contaminations par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) dès les années 1985, puis par le virus de l’hépatite C dans les années 1990, a été à l’origine dans divers pays de nombreuses actions engagées par des associations et des professionnels de santé pour aboutir progressivement à des politiques publiques de réduction des risques. En France, cette thématique a été inscrite dans la loi de santé publique d’août 2004, puis dans différents plans gouvernementaux de santé publique : plans de prise en charge et de prévention des addictions, le plan national de lutte contre les hépatites B et C et le plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies.
Keywords: government and politics; prevention; harm reduction; AOD use, abuse, and dependence; addiction; HIV infection; viral hepatitis; hepatitis C; harm reduction policy; cost-effectiveness; prison; epidemiology; woman; pregnancy; public opinion; France; Europe
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Blaues Kreuz Kantonalverband Bern. (2010). Geschäftsbericht 2009 : Suchtarbeit im Wandel. Bern: Author.
Keywords: prevention; health promotion; counseling; treatment and maintenance; cooperation; aftercare; social integration; statistical data; financial statement; Switzerland; Berne (canton); annual report
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Observatoire suisse de la santé. (2009). Rapport annuel 2008. Neuchâtel: Observatoire suisse de la santé (Obsan).
Keywords: public health; statistical data; financial statement; Switzerland; Observatoire suisse de la santé (body); annual report
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Bundesamt für Gesundheit. (2010). Nationales Programm Alkohol : gut unterwegs, aber noch lange nicht am Ziel. Bern: Bundesamt für Gesundheit (BAG).
Abstract: “Wer alkoholische Getränke trinkt, tut dies ohne sich selber und anderen Schaden zuzufügen”. So lautet die unmissverständliche Vision des Nationalen Programms Alkohol 2008-2012 (NPA), mit dessen Umsetzung der Bundesrat im Juni 2008 das Bundesamt für Gesundheit (BAG) zusammen mit der Eidgenössischen Alkoholverwaltung (EAV) beauftragt hat. Doch wie entwickelt sich zurzeit der Alkoholkonsum in der Schweiz und welche Schritte wurden in der Alkoholprävention unter dem neuen Programm bereits unternommen? Eine Zwischenbilanz.
Keywords: prevention; treatment and maintenance; counseling; adolescent; adult; AOD use, abuse, and dependence; chemical addiction; alcohol; binge drinking; government and politics; public policy on alcohol; program evaluation; Switzerland
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Fondation Dépendances. (2010). Rapport d'activités 2009. Delémont: Fondation Dépendances.
Keywords: Switzerland; Jura; Delémont; Fondation Dépendances (body); annual report
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World Health Organization. (2010). Atlas on substance use (2010) : resources for the prevention and treatment of substance use disorders. Geneva: World Health Organization (WHO).
Keywords: AOD use, abuse, and dependence; treatment and maintenance; prevention; government and politics; laws and regulations; AOD public policy strategy; international area
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Transport Research Centre. (2010). Drugs and driving : detection and deterrence : summary document (I. T. Forum, & Organisation for Economic Co-operation and Development, Eds.). Paris: Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD).
Abstract: Driving while impaired by drugs – whether licit or illicit – has emerged as an important road safety issue. This report provides a state-of-the-art review of the role and impact of drugs in road accident risk. It reviews the legislation, deterrence and roadside detection practices in member countries as well as preventive measures to combat drug use while driving. It provides recommendations on strategies to adopt in addressing this issue, with a view to contributing to a safe system approach and saving further lives on the road.
Keywords: addiction; AOD use; chemical addiction; drug; AOD use and driving; international area; Europe
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Centre de recherches sur les transports. (2010). Drogues au volant : détection et dissuasion : document de synthèse (F. international des transports, & Organisation de coopération et de développement économiques, Eds.). Paris: Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Abstract: La conduite sous l’emprise de drogues – médicaments ou drogues illicites – commence à être reconnue comme un problème important pour la sécurité routière. Ce rapport propose un examen approfondi du rôle et de l’impact de la consommation de drogues sur le risque d’accident. Il passe en revue les réglementations en vigueur dans les pays membres, les pratiques de dissuasion et de détection en bord de route ainsi que les mesures de prévention pour combattre la conduite sous l’emprise de stupéfiants et de médicaments. Le rapport propose des recommandations sur les stratégies à adopter pour résoudre ce problème, afin de poursuivre le combat pour sauver des vies sur la route et contribuer à une approche pour un système sûr.
Keywords: addiction; AOD use; chemical addiction; drug; AOD use and driving; international area; Europe
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Reynaud-Maurupt, C., & Hoareau, E. (2010). Les carrières de consommation de cocaïne chez les usagers “cachés” : dynamique de l'usage, conséquences de la pratique et stratégies de contrôle chez des consommateurs de cocaïne non connus du système de prise en charge social et sanitaire et des institutions répressives (G. de recherche sur la vulnérabilité sociale, & Tendances récentes et nouvelles drogues, Eds.). Saint-Denis-La Plaine: Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).
Abstract: Seule une partie des usagers de cocaïne est connue des institutions sociosanitaires ou répressives (le plus souvent des usagers d’héroïne de longue durée sous traitement de substitution qui utilisent occasionnellement ou régulièrement de la cocaïne, ainsi que des personnes le plus fréquemment caractérisées par des situations de grande précarité, usagers de crack notamment). Cette enquête qualitative, dont les données ont été recueillies en 2006-2007 dans huit agglomérations françaises, repose sur l’analyse de cinquante entretiens conduits avec des consommateurs appartenant à la population d’usagers « cachée ». À travers les discours des usagers rencontrés, qui se sont longuement confiés, des « carrières type » de consommation ont pu être reconstituées dans leurs différentes étapes (de l’expérimentation du produit aux phases éventuelles de consommation les plus compulsives). En parallèle, l’étude s’est penchée sur le point de vue de ces usagers : leurs perceptions des risques liés à leurs consommations, leurs stratégies pour contrôler et limiter leurs usages et leurs éventuels besoins et recours à des aides. Loin des simplifications archétypales qui considèrent qu’il n’existe que deux profils majoritaires d’usagers de cocaïne (l’usager issu de l’élite sociale qui consomme par voie nasale dans des soirées branchées ou pour maximiser ses performances au travail versus l’usager en situation de précarité qui consomme par voie injectable ou fume du crack), cette étude dresse un portrait beaucoup plus complexe et nuancé de cette population largement polyconsommatrice.
Keywords: addiction; AOD dependence; chemical addiction; cocaine; crack cocaine; AOD user; hidden population; multiple drug use; socioeconomic status; France
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Bundeszentrale für gesundheitliche Aufklärung. (2011). Der Alkoholkonsum Jugendlicher und junger Erwachsener in Deutschland 2010 : Kurzbericht zu Ergebnissen einer aktuellen Repräsentativbefragung und Trends. Köln: Bundeszentrale für gesundheitliche Aufklärung (BZgA).
Abstract: Der regelmäßige Alkoholkonsum von Jugendlichen in Deutschland ist weiter rückläufig und hat im Jahr 2010 den niedrigsten Stand seit den 70er Jahren erreicht. Noch immer verbreitet ist das so genannte Binge Trinken (Rauschtrinken): Zwar sind auch hier leichte Rückgänge zu verzeichnen, eine generelle Trendwende lässt sich aus den neuen Zahlen jedoch nicht ableiten. Das sind die Ergebnisse der heute veröffentlichten Studie der Bundeszentrale für gesundheitliche Aufklärung (BZgA) “Alkoholkonsum Jugendlicher und junger Erwachsener in Deutschland 2010”. Für die Studie wurden 7.000 Personen im Alter von 12 bis 25 Jahren nach ihren Trinkgewohnheiten befragt. Vor allem in der Altersgruppe der 12- bis 17-Jährigen griffen im Jahr 2010 deutlich weniger Jugendliche regelmäßig zu alkoholischen Getränken. Während 2004 noch etwa jeder Fünfte (21 Prozent) dieser Altersgruppe angab, mindestens einmal in der Woche Alkohol zu trinken, lag dieser Anteil im vergangenen Jahr bei rund 13 Prozent. Auch die Zahl derer, die das so genannte Binge Trinken, also den Konsum von mindestens fünf alkoholischen Getränken bei einer Gelegenheit, praktizieren, ist über alle Altersgruppen hinweg leicht gesunken. Doch noch immer geben 16,7 Prozent der minderjährigen Jugendlichen an, im letzten Monat Binge Trinken betrieben zu haben. Im Jahr 2004 waren es noch 22,6 Prozent. Vor allem bei Jungen und jungen Männern ist dieses riskante Trinkverhalten weiterhin verbreitet. So praktizierte im vergangenen Jahr jeder Fünfte 12- bis 17-Jährige mindestens einmal im Monat Binge Trinken, bei den 18- bis 25-Jährigen war es sogar jeder Zweite. Mechthild Dyckmans, Drogenbeauftragte der Bundesregierung, erklärt: “Die aktuellen Konsumzahlen zeigen, dass der Ansatz der Bundesregierung, in der Drogen- und Suchtpolitik einen Schwerpunkt auf die Alkoholprävention im Jugendalter zu legen, richtig ist. Der hohe Alkoholkonsum bei einem Teil der jungen Menschen ist ein gesellschaftliches Problem, dem mit Aufklärung, Information und gezielten Präventionsmaßnahmen begegnet werden muss. Es zeigt sich, dass besonders das Rauschtrinken bei den Jugendlichen immer noch weit verbreitet ist. Auch wenn die Zahlen der Krankenhauseinweisungen wegen Alkoholvergiftungen bei den 10- bis 15-Jährigen um vier Prozent gesunken sind, dürfen wir mit unseren Präventionsbemühungen nicht nachlassen.” “Alkohol ist nach wie vor das Suchtmittel Nummer eins bei jungen Menschen”, betont Prof. Dr. Elisabeth Pott, Direktorin der Bundeszentrale für gesundheitliche Aufklärung. “Sie trinken insgesamt immer noch deutlich zu viel. Für viele Jugendliche gehört Alkohol zum Feiern und Spaß haben dazu, über die gerade für junge Menschen schweren gesundheitlichen Folgen sind sie sich dabei oft nicht im Klaren. Dies alles zeigt: Prävention ist und bleibt unverzichtbar.” Erstmals wurden mit der vorliegenden Studie der BZgA Jugendliche nach ihren Trinkmotiven und ihrer Einstellung zum Alkohol befragt. Die Ergebnisse zeigen: Es sind vor allem soziale Faktoren, die den Alkoholkonsum von Jugendlichen beeinflussen. Sie trinken, um Spaß zu haben, Hemmungen zu überwinden und weniger schüchtern zu sein. Für den Alkoholkonsum entscheidend ist außerdem das direkte Umfeld junger Menschen. Je mehr und je häufiger Alkohol etwa im Freundeskreis getrunken wird, desto höher ist der eigene Alkoholkonsum.
Keywords: alcohol in any form; AOD consumption; AOD use, abuse, and dependence; chemical addiction; adolescent; young adult; binge drinking; survey; Germany
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